la boue plein les pattes

du fille a retorde, non pas vraiment, un animal restais un animal, et une plait restait une plait. enfin, bien que Caesonia ne savais pas se que la petite louve pensait, la soigner ne serais pas un problème. la féline partie cherche un plante qui poussait pas trop loin du plan d'eau et reviens. elle était en trin de la marcher. elle l’étendit avec sa langue sur la plait de la petite, se qui atténua la douleur et arrêta le saignement. Caesonia se leva sur ses pattes arrière pour appuyer ses patte avant sur le tron de l'arbre et prendre quelque feuille pour les mettre sur la plait et faire le tour de la patte. cette partie fut plus délicate pour le grand chat et elle du sortir c'est griffe pour rentrer le bout de la feuille pour que cette dernière tien en place. elle commença après a lécher le sang autour de la plait et a enterrer le sang que la petite avait perdu et ainsi atténué la douleur. quand tout fut fini. elle la regarda avec un sourire. elle ne parla pas car la plant qui avais engourdi la douleur avais aussi engourdi la langue de la shaman et ainsi l’empêchait de bien parler, même lécher la plait de la louve avait été difficile.

• Narvah laissa la chamane commencer son travail non sans la regarder d'un oeil méfiant. La guerrisseuse faisait un boulot remarquable qui en étonna la louve. Quand la sabrette eu finit de la soigner et se retira satisfaite de son travail, la blanche pu observer plus longtemps l'oeuvre sur sa queue. Incroyable !
  
  - Merci beaucoup Caesonia ! Tu es une grande chamane ! Doit-elle rester ici se reposer ?
  
  Narvah rgarda les deux camarades et s'empressa de faire connaitre son avis.
  
  - Ce ne sera pas nécéssaire. Je vous remercie pour ce que vous avez fait pour moi mais je ne vais pas vous importuner plus longtemps.
  
  
  

La felinne commanca a grogner contre la louve. incapable de parler, elle devais bien lui faire savoir sa désapprobation visavi le fait quelle voulais partir. elle n'en était pas en état, bien quelle ne sent plus le mal du a la mixture, cela ne voulais pas dire quelle n'en était pas moins blesse. toujours incapable de communiquer du a l'analgegique, la felinne continuait de grogner après le louve, bien certainement, si cette dernière se ravissait, Caesonia allait arretter de gronder.