Découverte (prio War') (terminer)

Deux erreurs étaient survenues lors des naissances. Une plus minime que l’autre. Une que les gens pouvaient confondre avec une blessure, l’autre qui ne pouvait se définir que pas monstrueux. Il fallait par contre s’y attendre. L’une était née de l’union de deux vieux loups, l’autre de l’union de loup déjà étrange a la base. Gladius et Soupir, Soupir et Gladius. Toutes les deux erreurs de la nature. La rumeur courrait dans la meute que le fils de Lethal, fille bien aimer de War', avait donné naissance a un monstre, un monstre a deux têtes. Mais cela paraissait vraiment inconcevable, jamais on n’avait vu cela. Son frère semblait bien se porter, donnant le fardeau des problèmes familial à son frère. Le petit était très impotent, par son incapacité à se synchroniser. De ce fait, ils ne sortaient qu’une fois par jour pour aller s’abreuver. Une seule fois. Ses parents étaient obligés de venir le chercher pour l’y emmener. Parfois, ils essayaient d’y aller seuls, mais, souvent, il rebroussait chemin après quelques mètres. Par moment, dit de gauche ce demandait pourquoi il était né, alors que dit de la droite se demandait pourquoi les gens ne semblaient ne pas l’aimer.  

Aujourd’hui, le petit était encore une fois couché sur la pierre froide d’une grotte ou seuls quelques rayons du soleil parvenais. Comme ils ne pouvaient pas vraiment s’enfuir, leurs parents les avaient laissés seuls.

-Non, mais t'as fini de vouloir jouer a je vois? Ta pas encore compris qu’il y a juste des roches ici! (gauche)

-Mais!!! Je veux jouer, moi!! T’es pas gentil! (droite)

-Pourquoi, je serais gentil avec toi?! Tu m’énerves tout le temps!(gauche)

Dispute entre frères, voila rien de nouveau avec leur si grande différence d’esprit. L’un logique, l’autre imaginatif! L’un plus mature que l’autre.

Gladius dit de la gauche se figea. Il ne voulait pas se faire remarquer et avait très bien saisi la menace dans les paroles de l’ainé. Simple chose inutile, il était peu probable qu’il s’empêcha de lui tordre le cou s’il ne se tenait pas à carreau!

Gladius dit de la droite était par contre beaucoup trop stupide pour le comprendre. Il regardait la touffe de poile qui avançait vers eu. Il ne voyait que le dos de l’animal et ne pouvait donc pas deviner qui c’était. Il aurait pu se fier à l’odeur, mais elle lui était étrangère tout comme familière à la fois.

-Hey! Je vois… aller devine! Je donne indice! C’est brun ….

Un glapissement se fit entendre. Dit de la gauche venais de saisir le museau de son frère pour l’immobiliser blessant légèrement se dernier. Si dit de la droite continuait de gesticuler et de chialer comme cela, dit de la gauche avait peur que cela sinise mal. Avoir été libre, il aurait surement envoyé valser son frère contre le mur, mais le corps de son frère était aussi le sien. La blessure faite à son parasite, il la sentit. Moins puissante, moins dérangeante, mais il le savait présente, mais il préférait se ressentiment a son corps sans défiance prise entre les crocs du mâle qui avançais.

Gladius dit de la gauche lâcha son frère et le concerta du regard. Tous les deux se mirent d’accord en un regard. Essayant péniblement de se lever, ils avancèrent de quelque pas avant de retomber au sol après une fausse manoeuvre. Dit de la gauche lâcha un grognement d’insatisfaction alors que son frère lâcha un couinement de douleur. Tous les deux étaient désormais suffisamment près pour bien voir le grand mâle brun. Avec ces paroles, dit de la gauche comprise que c’était son grand-père. Son odeur rappelait très vaguement celui de leur mère, mais aussi des odeurs étrangères provenant du Vallon. Dit de la droite fut tout de suite très curieux de connaitre d’où venait les odeurs. De plus, l’explication ne viendrait-elle pas avec une histoire?

-Vous santé bizarre! (droite)

Dit de la gauche grogna après son frère, vraiment son frère manquait de savoir-vivre et si un jour ils mouraient à cause de cela, ça serait surement du a son frère qui ne semblait vraiment pas comprendre ou était sa place.

Face au mâle, ce dernier pouvait distinguer un seul corps surmonter de deux têtes identique à un détail prêt, soit l’expression faciale, il ne pouvait donc pas voir double.

Gladius dit de la droite perdue aussi tôt son sourire en voyant comme le mâle réagissait. Étrangement, les deux coter se synchronisèrent pour reculée hors de la porter de leur grand-père. Dite de la droite gémissante et alias les oreilles plaquer sur le crâne, son expression trahissait sa peur. Dit de la gauche, quand a lui, était provocateur. Il regardait le dos de son grand-père avec de la haine. À un si jeune âge, il savait déjà que cette réaction serait son lot quotidien. Les poils de sa nuque et d’une partie du dos se hérissèrent. Dit de la gauche allai vendre chèrement sa peau, du moins, le mieux qu’il le pouvait avec se poids mort de peureux qui lui servait de frère.

-Si t’es pas contant de ce que tu vois tu peux partir!(gauche)

Son ton montrait tout la hargne que la jeune dite de la gauche avait, mais aussi l’amertume de sa situation. Il n’avait jamais demandé à naitre. Il savait parfaitement ce que le grand mâle devait se dire, ils étaient des montres, et il avait raison. Bien que le jeune savait que sa vie n’aurait jamais dû être créée, mais il ne se résignait pas à s’enlever la vie. Vous direz que Gladius était trop jeune pour être aussi lucide de sa situation, mais il l’était et c’était ainsi.

Gladius dit de la droite couina quand le mal les ramassas, quelque peu surprise par le contact. Dit de la gauche resta sur ces gardes. Quelqu’un de mal intensionner? La meute entière connaissait son existence et il n’était pas encore mort. Gauche ne fit rien pour contrarier le male d’avantage. Mais dit de la droite se chargea de répondre à la question du male.

-Maman et papa nous à appeler Gladius, pour nous différencier, moi, c’est droit et le grincheux, c’est gauche! (droite)

Sourire innocent, preuve de sa naïveté teinter de stupidité. Une fois, deposer plus loin ce fut gauche qui pris la parole :

-Alors t’es notre grand-père? (gauche)

-Chouette un grand-père! Comment tu fais pour marcher? (droite)

Effectivement, les adultes de la meute le trouvaient cause désespéré, les deux loupiots n’avaient donc pas encore compris le principe de synchronisation.

Dit de la gauche commença à être intéresser par ce que faisais son ainé. Imitant dit de la droite, il observa la démarche et analysa tous les mouvements. Au bout de quelque minute, il comprit parfaitement comment le faire, mais, au contraire des autres, il ne contrôlait pas les deux autres pattes du coté droit. Comment pouvait-il se synchroniser avec son frère? Cette chose stupide et naïve qui ne cherchait qu'à s'amuser.

Dans sa joie d'enfin pouvoir marcher, Dit de la droite cherchais déjà à se lever pour marcher. Son frère de gauche décida de bien vouloir ce lever avec lui. Après plusieurs échecs, ils réussirent à se lever sans tomber.

-Écoute-moi maintenant. Quand j'avance ma patte avant, tu avances ta patte arrière, tu comprends? (gauche)

-Oui! (droite)

-Et quand j'avance ma patte arrière, tu avances ta patte avant! (gauche)

-Compris!(droite)

Les deux gamins était très exciter d'avoir l'approbation d'un adulte. Encouragés par le petit coup de leur grand-père, les deux maux se mirent en route, mais après deux pas, ils tombèrent. Ils recommencèrent, fessant toujours quelque pas avant de tomber. Dû à leur différence, la monstruosité n'arrivait pas à se synchroniser naturellement, de plus, cet exercice était assez nouveau. En général, c'était un adulte qui le portait ou ils rampaient pour aller d'un point A au point B. Les paroles de soupir reviens alors en tête de dit de la droite, il fallait dépasser les gens dans le domaine qu'ils lui disaient interdit, comme cela, on les forcerait a leur prouver le contraire. C'est avec cette pensée que les deux jeunes continuèrent à essayer. Au bout de quelque tentative, ils tombèrent et le petit dit de la droite tomba tête contre terre. Le choc fus suffisamment violent pour que le petit commence a couiné de douleur alors que Dit de la Gauche riait de son frère et le traitait de petite nature.

Les Gladius réussirent à se rasoir et a regardé le mâle qui leur portrait attention. Étrange tout de même se revirement de situation, il y a peine quelque minute, War’ voulait leur mort et désormais il les aidait a devenir plus fort. Gladius n’allait certainement pas dire non à cette aide inattendue.

Durant que Droite séchait ces larmes, gauche regarda son grand-prère en se demandant comment il pouvait se synchroniser avec son autre moitié. Rien n’avait réussi à lui faire comprendre le fonctionnement jusqu’à présent, il se pressait toujours ou encore il marchait toujours trop lentement. Même si Gauche essayait d’être à son allure, rien ne fonctionnerait. Comment se synchroniser?

Illumination, si son esprit ne pouvait pas fonctionner pour cela, si on lui fournissait quelque chose pour se concentrer sans se concentrer, Droite pourrait se synchroniser!

-J’ai une autre idée! Quand je dis un tu avances la patte arrière et quand je dis deux tu avances la patte avant! Compris? (Gauche)

-OUI!

Droite était revenu à son habituelle joie et fit ce que son frère lui dit. Ainsi, en commençant doucement à dire les chiffres, les gamins réussir à marché doucement, leur vitesse n’était pas impressionnante, mais ils réussissaient à se déplacer seuls. Avec le temps, car il en avait beaucoup de temps, il réussira à se déplacer plus vite, voir possiblement à courir. Un grand sourire parra les babines des deux loupiots.

Les Gladius marchèrent longtemps. Ils trébuchèrent plusieurs fois, mais se relevèrent. Tous les deux voulaient que leur grand-père soit fier d’eux. Il vien quand même un temps où leurs petites pattes commencèrent a se fatiguer et la marche devient moins rapide et plus saccader. Les deux têtes se fessaient aller a coche et à droite pour retrouver l’équilibre, la faiblesse leurs faisans faire plusieurs faut pas. Ils finirent pas tomber au sol, haletant. L’exercice avait été difficile pour eux, mais lucratif. Il avait enfin compris comment marcher grâce à leur grand-père. Oui, il serait fort, non, ils ne seraient pas un poids mort pour la meute éternellement.

Les petits repèrent telle des vers vers la rivière. Ils avaient besoin d’eau pour calmer la brulure de leur gorge. À les voir faire, on pouvait deviner que c’était ainsi qu’il se déplaçait en temps normal, le ventre contre terre telle des insectes qui cherchait a parasité un endroit. War’ pouvais voir ainsi un certain désastre cher cette enfant qui était presque laissée a lui-même. Non, ces parents n’auraient pas du avoir d’enfants, il aurais du se contenter de rester coller l’un a l’autre. Le mal était fait, et c’était Gladius qui vivait avec les conséquences. Il avait bien trois ou quatre mois, mais il ne pouvait rien faire seul, ou presque. Contrairement à l’autre loupiot, ils fessaient leur toilette eu même, s’occupait eu même et si ça n’était que ces parents se souvenais de sa présence après la chasse, devrais se trouver a manger tout seul.

Indépendant ou presque, seule la présence de certain ami, telle Yahlo lui permettait de ne pas vouloir se laisser aller. Il fallait dire aussi que le puissant sang de son grand-père coulait dans ces veines et il avait hérité de sa détermination.